Un généalogiste professionnel à la recherche de ses racines paternelles découvre la psychogénéalogie
Mon premier contact avec la psychogénéalogie remonte à quelques années lorsqu’une amie m’offrit le best-seller d’Anne-Ancelin Schützenberger « Aïe, mes aïeux ! » mais ma quête avait commencé bien plus tôt, puisque je m’étais moi-même spécialisé dans le domaine de l’histoire des familles, ce qui constitue aussi une véritable passion en soi.
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