Un article de Noëlle Lamy publié le 26 septembre 2025

Mon approche met en évidence la psychophanie comme outil de mise en mots de l’indicible et souligne la figure de l’ancêtre-guide comme construction symbolique d’orientation. Avec prudence et rigueur, j'ouvre un espace de réflexion sur la transmission familiale.

Je vous propose de découvrir l’alchimie de la psychogénéalogie où psychophanie et ancêtre-guide deviennent des repères symboliques de transmission.

Aller vers nos ancêtres

Chemin de découvertes grâce à la psychogénéalogie

Depuis une vingtaine d’années, je parcours, à l’instar de tant d’autres parmi vous, ce chemin incroyable de la psychogénéalogie et de la psychanalyse transgénérationnelle. Formée dès mon plus jeune âge professionnel au soin à l’autre en tant que kinésithérapeute, il s’est imposé à moi, de manière tellement naturelle, la nécessité de comprendre davantage les rouages familiaux. Ceci sans doute aussi — je le sais maintenant — pour tenter de guérir ma propre place dans ma famille, famille qui, pour moi, restait un immense mystère, naturellement inaccessible. J’ai ainsi fait l’expérience de l’impensé, de l’absence de mots pour dire la difficulté : c’était tout bonnement impensable. Mes recherches furent plurielles et, comme pour beaucoup, longues et douloureuses.

Découvrir la psychogénéalogie et ce qu’elle nous donne à découvrir

C’est donc déjà rompue à l’exercice du travail sur soi que j’ai démarré, tout d’abord, une formation, puis une seconde, puis une troisième… Quand on aime, n’est-ce pas, on ne compte pas. Et moi, je suis « tombée » dedans dès le début. J’étais tout simplement fascinée par la logique absolue de la méthode, aussi indiscutable pour moi que le nombre d’or, la physique — quantique ou non — ou les mathématiques. Quand les sciences donnent raison à la philosophie… Toutes mes années de formation antérieures (MTC, travail énergétique, anthroposophie, décodage symbolique, ostéopathie crânienne, etc.) m’ont donné un respect profond pour l’intelligence de notre corps, qu’il soit biologique ou psychique, pour ses lieux de symbolisation — pathologiques ou créateurs —, pour sa puissance de récupération et de résilience, qui n’a d’égale que sa capacité à se mettre hors service. C’est ainsi, pourvue de tant d’années d’expériences professionnelles et d’apprentissages, que j’ai abordé et compris la psychogénéalogie, puis la psychanalyse transgénérationnelle, à laquelle m’a formée Bruno Clavier. Ma pratique reflète totalement ce que j’ai intégré de ces formations, puis de ma pratique en cabinet libéral de kinésithérapeute et d’ostéopathe.

Les exigences et le cadre du début d'un travail en psychogénéalogie

La psychogénéalogie a ses règles, ses techniques, sa pratique et ses immenses surprises. Ce sont elles que je souhaitais partager avec vous aujourd’hui. Mais progressons doucement. Les règles sont le socle de cette technique, le fondamental qui permet de rester dans une réalité cohérente, de poser un temps historique qui passe, peu ou prou, par la collecte des actes. Cela nous donne accès à la précision des jours, mois, années qui ont vu la naissance, les mariages, la mort de nos ascendants, permettant ainsi de tracer le cadre de leur passage de vie et de donner les grands axes de leur histoire. Grâce à cela, nous pouvons dessiner l’arbre généalogique sous forme de génosociogramme, dont l’écriture est déjà un révélateur, ce que je nomme « la danse de l’arbre ». La régularité ou non des symboles (triangles ou cercles), leurs places, l’espace qu’ils occupent, les lignes qui les unissent : ces dessins, spécifiques à chaque arbre et à chaque créateur, sont déjà en soi des découvertes, des informations à ne pas négliger. Ainsi est-il nécessaire de l’écrire à la main, sur un grand format vertical. Notre inconscient se révèle mieux dans ce format.

Répétitions, identifications, projections: les grandes lois de la psychogénéalogie

La technique passe ensuite par le repérage des répétitions, ce qui est le plus visible et pose les premières interrogations. Puis nos consultants prennent conscience, à leur rythme, des projections et des identifications qui ont façonné leur identité familiale jusqu’alors. Le travail avec le consultant est toujours riche de découvertes et de repositionnements justes, plus proches de la réalité des vécus de nos ancêtres. Cela peut prendre un long temps de recherche — ce qui est heureux, car au fur et à mesure des découvertes, la géographie intérieure du consultant se modifie, passant par des émotions parfois si intenses qu’il faut bien respecter un temps d’attente de plusieurs semaines entre deux rendez-vous. Nombreux sont ceux qui prennent une pause à ce niveau, et c’est déjà tellement bien !

Nos ancêtres viennent vers nous

Quand ce travail est fait et que notre patient connaît mieux son histoire, interviennent deux pratiques que je partage dans mon ouvrage "L’Alchimie de l’arbre" et que je veux vous présenter aujourd’hui :

  • Les psychophanies
  • Le travail de l’ancêtre-guide

Les psychophanies ou communication facilitée

Une surprise totale

Ma première expérience a eu lieu lors de ma formation au Jardin d’Idées. Je traînais depuis des semaines une trachéite qui me contraignait au silence et que je n’avais pas pris le temps d’explorer pour en trouver le sens… La psychophanie réalisée alors — la toute première pour moi — m’a guidée vers la mémoire de mon père qui tenait une grande place dans mon travail transgénérationnel et voilà qu’il m’annonce qu’il « prend des cours d’orthophonie »… Cela ne s’invente pas ! Cette parole m’a laissée muette d’étonnement, d’incompréhension, dans un état de sidération mentale totalement inhabituel pour moi. Ce n’est que quelques heures plus tard que je réalisai que cette annonce, pour étonnante et stupéfiante qu’elle ait été, venait réparer la réalité de la vie et de la mort de mon père, porteur d’un cancer de la glotte inopérable, « trachéotomisé » et qui ne parlait plus. Quelle ouverture puissante se faisait là !

Origine de la psychophanie

Cette pratique apporte des renseignements inattendus, parfois totalement imprévisibles, qui s’apparentent à des mémoires cellulaires. La technique de la psychophanie est née du travail de Rosemary Crossley, psychologue des années 1970 au Canada. Elle souhaitait faciliter la communication d’enfants en situation de handicap d’expression orale, qu’ils soient porteurs d’infirmité motrice cérébrale ou autistes. En France, Anne-Marguerite Vexiau, orthophoniste, partageant les mêmes projets professionnels, rapporta cette technique et lui donna le nom de psychophanie, « révélation de la psyché ». Elle s’aperçut en effet, dans sa pratique, que l’on pouvait élargir la méthode à toute autre personne, même sans difficulté d’expression, pour permettre l’émergence de pensées et d’émotions jusque-là indicibles. Dans une relation d’inconscient (du praticien) à inconscient (du consultant) émergent des ressentis profonds, tenus au silence jusque-là.

Pratique concrète

La psychophanie se pratique de manière extrêmement simple. En présentiel, la main du consultant est posée sur la main du praticien, qui écoute et note les questions du consultant, retranscrivant les réponses qu’il perçoit. Cette retranscription peut se faire à l’aide d’un ordinateur ou à la main, selon l’habitude du facilitant. Depuis 2020, nous avons appris que le même travail pouvait se faire en ligne, dans le respect total de la liberté du facilité (le consultant) à son rythme et selon son écoute intérieure.
Les perceptions du facilitant sont de diverses natures : paroles entendues, parfois avec des voix différentes, expressions variées, images, couleurs, rythmes, voire musique. Des mimiques, des émotions sont aussi ressenties par le facilitant. Celui-ci — je le précise — n’est absolument pas médium. Le travail ne peut se faire qu’en lien avec le facilité. Ensemble, ils forment les deux faces d’un dialogue intérieur qui a besoin de l’autre pour être, pour se donner et pour se dire.

Cette libération du langage permet de lever des obstacles, des nœuds inconscients qu’elle contribue à résoudre. On peut lui accorder une valeur de dialogue avec soi-même, permettant de s’approprier sa propre histoire d’un point de vue tout à fait neuf. Les textes ainsi écrits sont issus d’un inconscient totalement libéré du mental. Très vite, le consultant peut obtenir des réponses à ses questions fondamentales. Pendant la séance, entre les temps d’écriture, les deux parties peuvent communiquer librement et spontanément. Le texte est ensuite remis au consultant.

Que se passe-t-il lors d’une séance?

C’est une relation d’inconscient (du praticien) à inconscient (du consultant) qui permet l’émergence des ressentis profonds, tenus au silence jusque-là. Pour [Didier Dumas](/dictionnaire/Dumas] qui a beaucoup pratiqué avec Anne-Marguerite Vexiau, « cette découverte était aussi importante dans l’esprit humain que celle que fut, au siècle dernier, la psychanalyse ». Par ce travail, l’homme se révèle infiniment plus complexe, plus riche, plus précieux, plus subtil que nous aurions pu le penser, même en tant que professionnels de la psyché. Certains consultants n’hésitent pas à parler de « miracles ». Je suis beaucoup plus réservée. D’abord, parce que je garde à l’esprit les mots de Saint Augustin: « Le miracle se produit non pas en contradiction avec la nature, mais en contradiction avec ce que nous connaissons de la nature. » Ensuite, parce que, dans ma pratique, je me suis rendu compte que plus c’est simple, plus c’est juste. Le plus laborieux est de rester dans la simplicité, l’être, l’instant, le « ici et maintenant ».

La dimension spirituelle

C. G. Jung avait pressenti que l’homme était naturellement religieux, et que, au-delà de sa dimension clinique et biologique, il portait une dimension spirituelle. Cette dimension s’exprime souvent dans les psychophanies. Et au-delà des croyances de chacun, elle nous invite à réfléchir simplement — dans la simplicité — aux informations que nous recevons. Il n’y a pas d’humilité à avoir, mais il y a de la simplicité à être et à se donner à être. Pourtant, c’est si difficile la simplicité. C’est si difficile de laisser la Vie agir à travers nous. Bien sûr, la question qui m’a taraudée au début de ma pratique — et qui a retenu mon geste quelque temps — était : « Qui parle quand “ça” parle? » Les réponses des praticiens plus âgés que moi étaient claires et nettes : c’est l’inconscient qui parle, et l’inconscient a ceci de particulier qu’il n’est pas conscient.

Hors du temps et de l’espace

Dans l’« écoute subtile de l’être » s’exprime un lien qui se rit du temps qui passe où qui repasse. Ici, sur cette terre, notre humanité s’exprime par ce poids du corps, qui permet une vibration à la parole du Sacré, à ce grand mystère. La plus belle réponse m’a été donnée par ma formatrice. Je vous la livre telle quelle, et vous en souhaite bonne réflexion:

*L’aide qui arrive est le fait du divin qui vient s’incarner et poursuivre l’acte de vie par un acte de conscience accrue.» Victoria Pellé Reimers, La Voix qui m’aime

Voici comment nous pouvons devenir co-créateurs de nos vies. Riches de toutes ces informations, données à nos questionnements, et souvent offertes à nos histoires de vie un ton plus juste, nous pouvons passer à la phase suivante: la construction de l'ancêtre-guide.

La construction de l’ancêtre-guide

Comment définir l’ancêtre-guide?

L’ancêtre-guide est une autre ouverture, une autre voie par laquelle peut s’exprimer l’inconscient. Sa construction est une des finalités de l’exploration de l’arbre généalogique. Elle fait la part belle à l’expression de notre inconscient, et l’écoute de cette expression est riche de sens et de découvertes. L’ancêtre guide est une construction mentale issue du travail de l’inconscient. Il ne peut être élaboré qu’après avoir bien compris son histoire généalogique. L’inconscient familial et l’inconscient personnel travaillent de concert à cette élaboration, qui vise à donner une forme précise à « l’ancestral » et à instaurer un dialogue avec lui. Jung l’appelait l’ami intérieur. Il peut devenir notre référence personnelle permanente et constituer une aide précieuse si nous apprenons à l’utiliser et si nous acceptons de lui faire confiance. C’est un objet mental, que nous allons créer pour créer. Cet ancêtre guide n’est pas un de nos parents : cela le limiterait à notre histoire généalogique. Il émerge plutôt d’un travail partagé dans le groupe, de la compréhension du consultant sur son histoire, et nous fait entrer dans un monde imaginaire, voire symbolique — mais n’est-ce pas la même chose ? — constituant un pont entre « réalité » et symbolique. Il est construit à partir de deux ancêtres réels, issus de notre arbre généalogique, de sexes différents, de lignées différentes, de générations différentes. Nous optons pour le plus de différences possibles, afin d’obtenir le plus d’harmonies, de liaisons, de compréhensions, de lectures et de créations possibles. Ces deux ancêtres vont servir de support mental à l’écriture de deux textes (un pour chacun d’eux), racontant une tranche de leur histoire. Ce sont ces deux textes qui vont déterminer la construction du mandala — premier temps de recherche.

Les trois étapes de l’ancêtre-guide

L’ancêtre guide s’élabore en trois temps:

  • le mandala psychique et la découverte de l’ancêtre-guide,
  • la construction du carré magique et les associations qui en découlent,
  • l’acte de passage

Le mandala psychique

Le mandala psychique est écrit à partir des deux récits du consultant. Il explore, autour d’une représentation circulaire en trois étapes (de l’extérieur vers l’intérieur) et en quatre quadrants, les qualités naturelles, sociales, culturelles et historiques de chacun des ancêtres retenus, emblématiques de l’histoire familiale.

Par un jeu d’associations d’idées, des mots se placent dans chaque case dessinée. En quelques secondes, à la fin de cette recherche, l’histoire familiale se révèle dans son entièreté et sa subtilité. Chaque membre du groupe, par sa puissance inconsciente, propose alors des noms. Ceux-ci apportent au consultant la synthèse de ce travail. Il n’est pas rare que le même nom apparaisse chez plusieurs membres du groupe. Le groupe permet une co-création en deux dimensions : l’une personnelle (celle du sujet qui contacte son histoire) et l'autre, propre à la création du groupe. Quand le nom est choisi, il appartient ensuite à chacun de prendre contact avec son ancêtre guide, qui peut tout aussi bien être Johnny Hallyday que Mère Teresa, François Ier ou François Villon. Il n’est pas rare de mettre ainsi en évidence les liens communs entre la vie de l’ancêtre guide et celle du sujet : même commune de naissance, dates identiques même à plusieurs siècles d’écart, habitudes communes, recherches similaires, etc. Dans une méditation collective et guidée, chaque participant fait la connaissance de son ancêtre guide, qui lui donne un objet et un mot. C’est à partir de ceux-ci que nous passons à l’étape suivante: la construction du carré magique.

La construction du carré magique

Appuyé sur les quatre types psychologiques de Jung, ce carré magique se décline à partir de ce cadeau reçu (objet et mot). Il recueille toutes les associations d’idées qui viennent l’enrichir, aboutissant à une collection de mots plus ou moins grande, qui recèle au plus profond d’elle un récit de vie important pour le consultant. C’est lui qui met en forme ce récit. Ce travail d’écriture est fondamentalement une naissance à la poésie, à la magie, à la découverte d’une facette de soi étrange, inattendue, inconnue et si enrichissante. Voici quelques exemples extraits de ces récits:

La vie et la mort unies dans l’absence de l’être ont fermenté dans l’humus de cette terre noire et dénuée d’espérance. L’arbre, dur et fort, est à l’origine du problème, mais c’est le chemin nécessaire pour avancer vers l’essence du Beau.

Je suis tel le papillon qui s’envole. Je prends de la hauteur. Je déploie mes ailes et m’éveille à la vie. La Vérité m’a été révélée. Je suis touchée par la grâce, l’Univers m’a délivré ses secrets, le sens caché de la vie. J’ai besoin d’air, je respire. Tant d’espace s’est ouvert en moi. Il est cet inconnu qui me donne l’espoir de grandir. Je me nourris de Sa splendeur, Sa beauté m’ouvre la voie vers la paix.

J’ai 15 ans. Je crois aux miracles et aux contes de fées… De la vie, je cherche les clés… Allongée sur mon lit dans la douceur d’un soir d’été, j’assiste au coucher du soleil sur la mer. Après, j’admire les étoiles et je plonge dans le secret gigantesque des mystérieuses cités d’or qu’il abrite…

Ces récits sont le prélude à la troisième étape: l'acte de passage.

L’acte de passage

Choisi et décidé par le groupe, dans le respect et la bienveillance, l’acte de passage concrétise la dimension nouvelle qui vient de s’ouvrir et de s’offrir. Il peut s’apparenter à un acte de psychomagie, cantonné toutefois au lieu et aux outils présents lorsque le travail se fait en groupe. Adapté au sujet, il a pour ambition d’ouvrir une dimension, d’autoriser un déploiement, et agit comme une permission (une mission du Père) à Être. Certains racontent qu’il existe un avant et un après l’ancêtre guide.

Conclusion

Je ne peux que vous inciter à explorer ces dimensions inconscientes — celles de l’ombre — qui font, j’en atteste ici, toute notre richesse et toute notre puissance. Et à y revenir si d’autres difficultés surgissent, si la vie nous convie à explorer d’autres mystères de notre histoire. Bien sûr, la question demeure: tout sera-t-il résolu après cela? Je ne le sais pas. Je ne sais pas ce qu’est le Tout… mais par essence n’est-il pas infini ? Les moments difficiles seront-ils effacés, évités? Je ne le sais pas, je ne le crois pas. Mais je peux vous assurer d’une chose : si nous ne pouvons pas changer ce qui a été, nous pouvons changer notre manière de le recevoir et de le vivre. Cela fait de chacun de nous des êtres uniques et singuliers, dont le monde a grand besoin pour vibrer.
Chacun de nous est indispensable à l’équilibre du monde, et chacun de nous porte en soi la lumière et la Vie. Ce que je sais, c’est que la grâce et la paix s’installent. Elles trouvent leur juste place en nous, ou bien alors, par un autre « miracle » de ce travail, nous acceptons enfin de leur faire de la place. Alors, sur notre arbre, poussent de petits rameaux de joie et d’amour. Puisse cette joie toujours vous accompagner et éclairer votre chemin, surtout dans les moments de peine et de chagrin.
Cela passe… et s’éclaire ensuite, parfois même d’une lumière encore plus vive.

Bibliographie

  • Pascal Reynaud & Élisabeth Horowitz, Se libérer du temps généalogique, Éditions Dervy (2002)
  • Victoria Pellé Reimers, La Voix qui m’aime. Éditions Aluna (2016)
  • Anne-Marguerite Vexiau, Je choisis ta main pour parler. Éditions Robert Laffont, coll. « Réponses » (1996)
  • Anne-Marguerite Vexiau, Un clavier pour tout dire. Éditions Desclée de Brouwer (2002)

L'auteur

Noëlle Lamy

Noëlle Lamy

Psychanalyste transgénérationnel

DE kinésithérapie en 1975, formation en ostéopathie de 76 à 85, puis MTC... Formation à la psychogénéalogie en 2006 à 2010 Ecole Internationale de psychogénéalogie Sens et Symboles Langage Symbolique du Corps 2009 à 2014 Jardin d'idées 2012 à 2017